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La retraite atteinte, j'ai rallumé le feu de la forge familiale. Deux roues de char, à l'état neuf, abandonnées depuis le milieu des années cinquante, gisaient dans un coin sombre de la forge familiale. Un agriculteur les avait amenées pour le ferrage. Trop tard pour la séance qui venait de se dérouler. Ni lui ni mon père ne savaient alors qu'il n'y en aurait pas d'autre. Ayant assisté à cette dernière séance de ferrage, en 1954 ou 1955, j'avais envisagé depuis longtemps, d'équiper de leur bandage les deux roues restantes. Pour préparer cette nouvelle séance, j'ai recherché un guide technique du ferrage des roues ; je n'en ai pas trouvé... alors j'en ai écrit un.
Pierre Alanche devait être forgeron. Le métier disparaissant, après ses études à l'école primaire d'Huparlac, il entra au lycée technique Monteil de Rodez, puis fit ses études à l'École nationale supérieure des Arts et Métiers et à l'Institut national polytechnique de Grenoble. Il commença sa carrière d'ingénieur chez Alcatel et la termina chez Renault.
Pierre Alanche devait être forgeron. Le métier disparaissant, après ses études à l'école primaire d'Huparlac, il entra au lycée technique Monteil de Rodez, puis fit ses études à l'École nationale supérieure des Arts et Métiers et à l'Institut national polytechnique de Grenoble. Il commença sa carrière d'ingénieur chez Alcatel et la termina chez Renault.