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Lieutenant de louveterie dans l'Eure à la fin du XIXe siècle, Camille Cerfon a chassé plus de mille sangliers avec des chiens mâtins.
Son expérience est unique car il fut l'un des seuls à défier les bêtes fauves, à la lance, de jour comme de nuit. Il raconte comment il a formé sa meute de chiens mâtins, croisements de dogues, de lévriers, d'épagneuls ou de loups. Avec ses molosses, Cerfon s'avance, la lanterne à la main, le couteau à la ceinture, en plaine ou en forêt, pour débusquer ses ennemis.
Au soir d'une vie de chasseur qui est presque une épopée, il livre ses souvenirs dans un style très vivant et rend un dernier hommage à ses fidèles chiens, dont certains sont tombés au champ d'honneur de la chasse.
Son expérience est unique car il fut l'un des seuls à défier les bêtes fauves, à la lance, de jour comme de nuit. Il raconte comment il a formé sa meute de chiens mâtins, croisements de dogues, de lévriers, d'épagneuls ou de loups. Avec ses molosses, Cerfon s'avance, la lanterne à la main, le couteau à la ceinture, en plaine ou en forêt, pour débusquer ses ennemis.
Au soir d'une vie de chasseur qui est presque une épopée, il livre ses souvenirs dans un style très vivant et rend un dernier hommage à ses fidèles chiens, dont certains sont tombés au champ d'honneur de la chasse.
