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Cet ouvrage est le plus ancien traité de lutte française répertorié. Publié en 1864 par A. Chauvin à Toulouse, Gymnique Française, ou méthode pour servir à l'éducation physique est l'unique oeuvre de Hugues Coudol, dit Cadet de Moissac.
L'auteur a détaillé vingt-quatre exercices, tous illustrés : de l'entrelacement des mains au coup d'épaule en passant par le tour de hanche en tête et la parade de la ceinture en arrière. L'ouvrage se termine par dix leçons des principes de la Boxe française.
Joseph Charlemont, maître d'armes et entraîneur de Boxe française, mentionne Hugues Coudol dans son ouvrage L'Art de la Boxe française et de la Canne (publié en 1899 et réédité aux Éditions Émotion Primitive) :
" Il y avait un professeur fort connu partout qui était très apprécié comme professeur et comme tireur. C'était Cadet de Moissac, un fort bel homme, grand, élancé, sec et beau garçon, la tête près du bonnet, mais d'un c?ur excellent. Il était à la fois, boxeur, lutteur et athlète, et avait une taille de 1 mètre 85 centimètres environ.
C'était un tireur au jeu haut et bas, il savait distinguer les défauts et les qualités de chacun de ces jeux et en tirer un bon parti, ce qui lui a valu certains succès. Dans les assauts, il n'admettait les coups d'arrêt que dans une mesure restreinte ; et les prises de jambes, que comme simulacre.
En tirant, il donnait l'exemple de l'élégance et de la correction dans la tenue. Faire beau et bien, telle était sa devise. Bon démonstrateur, il enseignait à ses jeunes élèves le calme et le sang-froid qui donne le courage, tout en leur recommandant de ne se servir de leurs moyens que dans les cas d'absolue nécessité ".
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L'auteur a détaillé vingt-quatre exercices, tous illustrés : de l'entrelacement des mains au coup d'épaule en passant par le tour de hanche en tête et la parade de la ceinture en arrière. L'ouvrage se termine par dix leçons des principes de la Boxe française.
Joseph Charlemont, maître d'armes et entraîneur de Boxe française, mentionne Hugues Coudol dans son ouvrage L'Art de la Boxe française et de la Canne (publié en 1899 et réédité aux Éditions Émotion Primitive) :
" Il y avait un professeur fort connu partout qui était très apprécié comme professeur et comme tireur. C'était Cadet de Moissac, un fort bel homme, grand, élancé, sec et beau garçon, la tête près du bonnet, mais d'un c?ur excellent. Il était à la fois, boxeur, lutteur et athlète, et avait une taille de 1 mètre 85 centimètres environ.
C'était un tireur au jeu haut et bas, il savait distinguer les défauts et les qualités de chacun de ces jeux et en tirer un bon parti, ce qui lui a valu certains succès. Dans les assauts, il n'admettait les coups d'arrêt que dans une mesure restreinte ; et les prises de jambes, que comme simulacre.
En tirant, il donnait l'exemple de l'élégance et de la correction dans la tenue. Faire beau et bien, telle était sa devise. Bon démonstrateur, il enseignait à ses jeunes élèves le calme et le sang-froid qui donne le courage, tout en leur recommandant de ne se servir de leurs moyens que dans les cas d'absolue nécessité ".
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