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Les cailloux roulent sur les sentiers, les lièvres dressent les oreilles, les chevreuils hument l'air, les cailles chantent dans la pierraille, les coqs de bruyère au haut des sapins attendent le jour pour le premier envol. Assis sur une pierre, tu fumes une cigarette et tu caresses le chien ; tu farfouilles avec tes doigts dans la cartouchière, en tires et y remets les cartouches ; tu les soupèses.
Il ne se lèvera jamais, ce jour ! "Enfin. Tu distingues déjà le guidon au bout du fusil ; tu vois les arbres, le sous-bois. Oui, voici le queue-rouge et maintenant encore le merle. Tu te lèves, tu lâches le chien et en route." Ce texte a été publié en italien en 1962.
Il ne se lèvera jamais, ce jour ! "Enfin. Tu distingues déjà le guidon au bout du fusil ; tu vois les arbres, le sous-bois. Oui, voici le queue-rouge et maintenant encore le merle. Tu te lèves, tu lâches le chien et en route." Ce texte a été publié en italien en 1962.