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Le 12 nivôse an VII (1er janvier 1799) démarre comme 1798 : relativement calme. La France de janvier 1799 ressemblait un peu à celle de décembre 1798 : les trois " républiques soeurs " (Batavie, Cisalpine et Ligurie) étaient devenues six avec les républiques helvétique, romaine et napolitaine.
Les belligérants étaient pourtant membres de la Deuxième Coalition contre la France « impérialiste » et n'attendaient que le moment opportun pour fondre sur la France où qu'elle se trouve : en Égypte, mais surtout en Italie, pays où les Autrichiens, membres de la Coalition , ne supportait pas l'idée de perdre deux ans plus tôt face à un jeune général inconnu sorti du rang. La situation avait assez duré et profitant du fait que Bonaparte était hors d'Europe, les Alliés de la Deuxième Coalition, avec l'aide de la Russie, envahirent ce que les Français avaient construit en 1796-1797 et le détruisirent au cours des combats et des batailles. Ce n'est qu'au cours des quatre derniers mois de l'année que les Austro-Russes ont commencé à reculer. En France, avec Bonaparte au pouvoir, un gouvernement fort se forme à l'approche des derniers jours de l'année.
Et l'année s'est terminée sans qu'aucune solution militaire définitive ne soit trouvée. Pour cela, il leur faudra attendre 1800 et les batailles décisives de Hohenlinden et de Marengo pour voir naître l'espoir de voir les canons se taire à nouveau.
Les belligérants étaient pourtant membres de la Deuxième Coalition contre la France « impérialiste » et n'attendaient que le moment opportun pour fondre sur la France où qu'elle se trouve : en Égypte, mais surtout en Italie, pays où les Autrichiens, membres de la Coalition , ne supportait pas l'idée de perdre deux ans plus tôt face à un jeune général inconnu sorti du rang. La situation avait assez duré et profitant du fait que Bonaparte était hors d'Europe, les Alliés de la Deuxième Coalition, avec l'aide de la Russie, envahirent ce que les Français avaient construit en 1796-1797 et le détruisirent au cours des combats et des batailles. Ce n'est qu'au cours des quatre derniers mois de l'année que les Austro-Russes ont commencé à reculer. En France, avec Bonaparte au pouvoir, un gouvernement fort se forme à l'approche des derniers jours de l'année.
Et l'année s'est terminée sans qu'aucune solution militaire définitive ne soit trouvée. Pour cela, il leur faudra attendre 1800 et les batailles décisives de Hohenlinden et de Marengo pour voir naître l'espoir de voir les canons se taire à nouveau.
