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" Encore un livre sur le MAS 36 " diront certains.
« Un de plus » répondront d'autres.
Pourtant celui-ci a quelque chose de particulier : il fourmille de détails inédits concernant les essais de l'arme en corps de troupe, il donne la description complète avec photos à l'appui des différentes phases de fabrication. De plus, on y découvrira quelles sont les modifications apportées à sa production ; ainsi que leurs dates. Même chose pour les Modèles CR 39 et 36 - 51. Toutes les variantes recensées y figurent dont certaines étaient inconnues à ce jour. Nous avons aussi tenté de faire une approche relative aux numéros de série et au nombre d'exemplaires fabriqués. Elle reste malheureusement incomplète en raison de la disparition de certaines archives lors de la tourmente qui devait emporter le GIAT et notre industrie de l'arme légère ; ainsi que de leurs munitions. Lourde est la responsabilité de ceux qui ont conduit à ce naufrage. Nous disposions dans nos manufactures d'un outillage ultra-moderne, d'ingénieurs et de techniciens compétents ayant une expérience inégalée qu'il faudrait des décennies pour reconstituer. N'oublions pas non plus ceux qui étaient chargés de la conception, de la mise au point, et des vérifications qui ont permis à nos fabrications la qualité que l'on sait. Nous sommes désormais soumis au bon vouloir de l'étranger pour l'approvisionnement de nos armées en matière d'armes légères, de munitions, et de bien d'autres équipements. Mais n'est-ce pas la France toute entière qui petit à petit glisse vers la décadence et la dépendance ?
« Un de plus » répondront d'autres.
Pourtant celui-ci a quelque chose de particulier : il fourmille de détails inédits concernant les essais de l'arme en corps de troupe, il donne la description complète avec photos à l'appui des différentes phases de fabrication. De plus, on y découvrira quelles sont les modifications apportées à sa production ; ainsi que leurs dates. Même chose pour les Modèles CR 39 et 36 - 51. Toutes les variantes recensées y figurent dont certaines étaient inconnues à ce jour. Nous avons aussi tenté de faire une approche relative aux numéros de série et au nombre d'exemplaires fabriqués. Elle reste malheureusement incomplète en raison de la disparition de certaines archives lors de la tourmente qui devait emporter le GIAT et notre industrie de l'arme légère ; ainsi que de leurs munitions. Lourde est la responsabilité de ceux qui ont conduit à ce naufrage. Nous disposions dans nos manufactures d'un outillage ultra-moderne, d'ingénieurs et de techniciens compétents ayant une expérience inégalée qu'il faudrait des décennies pour reconstituer. N'oublions pas non plus ceux qui étaient chargés de la conception, de la mise au point, et des vérifications qui ont permis à nos fabrications la qualité que l'on sait. Nous sommes désormais soumis au bon vouloir de l'étranger pour l'approvisionnement de nos armées en matière d'armes légères, de munitions, et de bien d'autres équipements. Mais n'est-ce pas la France toute entière qui petit à petit glisse vers la décadence et la dépendance ?
